OMC: NOUVELLES 2014

PROGRAMME DE CHAIRES DE L’OMC


POUR EN SAVOIR PLUS:

  

S.E. Ahmed bin Sulaiman Al-Maimani, Sous-Secrétaire au Ministère du commerce et de l’industrie pour les affaires administratives, financières et régionales, M. Ali bin Saud Al-Bemani, Vice-Chancelier de la Sultan Qaboos University, Son Altesse Mme Mona Fahad Al Said, Vice-Chancelière adjointe au Bureau pour la coopération internationale, M. Anvar Kacimov, Doyen du Collège des sciences agricoles et marines, M. Houcine Boughanmi, nouveau titulaire d’une chaire de l’OMC et universitaire chargé de la coordination du cours régional de politique commerciale de l’OMC, Mesdames et Messieurs les membres de la Sultan Qaboos University, Mesdames, Messieurs,

Au nom du Directeur général, M. Roberto Azevêdo, j’ai l’honneur et l’immense plaisir de lancer officiellement le Programme de chaires de l’OMC à la Sultan Qaboos University et, par la même occasion, le premier cours régional de politique commerciale (CRPC) pour les pays arabes et du Moyen-Orient organisé conjointement par la Sultan Qaboos University et le Secrétariat de l’OMC.

Le Secrétariat de l’OMC exécute plusieurs programmes dont le but est de contribuer au développement et au renforcement des capacités dans les établissements d’enseignement supérieur dans le domaine de la politique commerciale et en ce qui concerne des questions relevant de l’OMC.

La cérémonie d’aujourd’hui témoigne du fait que nos programmes et initiatives en matière d’assistance technique liée au commerce (ATLC) et de renforcement des capacités sont une composante importante des travaux de l’OMC et contribuent au programme de travail de l’Aide pour le commerce. L’objectif principal du programme de renforcement des capacités commerciales de l’OMC est de consolider les capacités humaines et institutionnelles des bénéficiaires afin de leur permettre de tirer pleinement parti du système commercial multilatéral fondé sur des règles, de faire face à l’émergence de nouveaux défis, de faire respecter leurs droits et de s’acquitter de leurs obligations. L’OMC s’est toujours employée à renforcer sa coopération avec les universités et établissements universitaires s’occupant de recherche et d’analyses liées à l’OMC, que ce soit en tant que partenaires ou bénéficiaires de l’ATLC fournie par l’OMC.

L’établissement d’une chaire de l’OMC à la Sultan Qaboos University et le fait que cet établissement a été choisi pour accueillir un CRPC de huit semaines témoignent de l’engagement de l’université et du rôle de leadership qu’elle joue s’agissant de former des générations de dirigeants en Oman et dans la région arabe. Cela atteste aussi l’attachement des responsables de cette université à l’excellence et à la préparation des nouvelles générations aux défis de demain.

 

Programme de chaires de l’OMC

En 2010, l’OMC a lancé son Programme de chaires qui vise à aider les universités des pays en développement pour ce qui est de l’élaboration des programmes de cours, de l’enseignement, de la recherche et des activités de communication. Le programme fait partie des activités d’assistance technique menées par l’OMC. Il vise essentiellement les établissements universitaires car ces derniers aident l’OMC dans son travail de sensibilisation aux enjeux du commerce international et génèrent les savoirs fondamentaux dont les décideurs ont besoin pour une prise de décisions efficace.

Les universitaires, par le biais de leurs travaux et de la recherche appliquée, peuvent jouer un rôle essentiel pour diffuser l’information liée au commerce et contribuer ainsi à rehausser la qualité et le niveau de participation des pays en développement au système commercial multilatéral, et leur capacité à en tirer parti. Les universitaires ont la liberté intellectuelle nécessaire pour analyser et expliquer l’impact des accords commerciaux et peuvent renforcer les capacités d’analyse en vue de la formulation de politiques économiques et commerciales judicieuses fondées sur des données empiriques.

Les établissements d’enseignement supérieur contribuent à mieux faire prendre conscience des questions commerciales au niveau national et parmi les fonctionnaires responsables de ces questions, et contribuent à l’établissement d’une base solide de compétences et de connaissances en vue de prise de décisions efficaces. Le rôle des établissements universitaires reste essentiel pour créer des capacités dans le pays grâce aux programmes d’enseignement et de formation au niveau local.

En 2010, 15 chaires ont été au départ attribuées sur la base d’un processus de sélection compétitif, et il en reste maintenant 14. Au cours de cette première phase, le Programme a produit d’importants résultats en termes d’élaboration des programmes d’études, de recherche et d’activité de communication. Nombre de ces résultats sont accessibles aux universitaires. C’est ainsi qu’un ouvrage récemment publié par le Secrétariat de l’OMC - “Overcoming Supply Side Constraints: Issues for Policy Makers” -, qui est le résultat direct de travaux entrepris par les chaires, rend compte des données d’expérience nationales des chaires de l’OMC pour soutenir les efforts faits par les pays pour s’intégrer dans le système commercial multilatéral. La publication donne des pistes intéressantes sur la manière de parvenir à cet objectif. C’est le type de travail que le Secrétariat encourage par le biais de ce programme, facilitant ainsi la communication et les échanges entre universitaires et décideurs.

Sept autres établissements ont été retenus pour la deuxième phase du Programme en 2014. Je suis très heureux d’accueillir la Sultan Qaboos University parmi les sept chaires de l’OMC attribuées en 2014 à l’issue d’un processus de sélection hautement compétitif auquel ont participé 77 universités. Le Secrétariat de l’OMC a été assisté pour la sélection par un conseil consultatif externe composé de 21 universitaires expérimentés dont le rôle est d’assurer la qualité des produits générés par les titulaires des chaires et de servir de conseils dans le cadre du Programme de chaires.

Le Programme de chaires de l’OMC apporte un soutien financier et scientifique aux établissements bénéficiaires pendant une période de quatre ans. Cette deuxième phase du Programme est financée par les Pays-Bas, et je souhaiterais donc aussi saisir cette occasion pour les remercier de leur générosité qui nous permettra d’atteindre les buts et objectifs fixés et de poursuivre l’excellent travail déjà entrepris par les chaires durant les quatre premières années d’existence du Programme.

Notre but est de créer un réseau d’établissements d’enseignement supérieur et de recherche pour la mise en commun des connaissances et de l’expérience. La Sultan Qaboos University fait maintenant partie d’un réseau de 21 chaires et sera l’une des 4 universités situées dans la région des pays arabes et du Moyen-Orient (Oman, Jordanie, Maroc et Tunisie). De fait, le savoir n’est pas produit pour être compartimenté ou segmenté mais notre rôle est au contraire celui d’un catalyseur encourageant la diffusion de tous les types de matériels pédagogiques produits en rapport avec l’analyse des politiques commerciales.

L’OMC encourage les recherches et l’élaboration de programmes d’études en rapport avec les questions intéressant l’OMC et renforce ses liens avec le milieu universitaire au niveau tant national que régional. La chaire de la Sultan Qaboos University contribuera certainement à renforcer la participation d’Oman au système commercial multilatéral mais jouera aussi selon moi un rôle essentiel au niveau régional. Le CRPC pour la région arabe sera à cet égard un élément complémentaire important et je suis certain que vous continuerez de jouer un rôle de premier plan dans votre région.

 

CRPC et renforcement des capacités

En ce qui concerne le cours régional de politique commerciale, les Membres de l’OMC attachent une grande valeur au renforcement des capacités humaines. Eu égard en particulier au contexte économique et commercial mondial actuel qui est difficile, je souhaite souligner l’engagement et la volonté du Secrétariat de continuer de s’efforcer de renforcer l’efficacité des programmes d’assistance technique de l’OMC par une utilisation optimale des ressources humaines et financières limitées à disposition.

L’OMC est une organisation conduite par les Membres et les pays doivent être prêts à exprimer et à défendre leurs intérêts et leurs attentes légitimes dans l’intérêt de leurs populations. Mais ils ne peuvent le faire que si leurs fonctionnaires chargés de la politique commerciale connaissent bien les accords commerciaux multilatéraux et sont versés dans les questions de politique commerciale. C’est dans ce contexte que tant le Programme des chaires que le CRPC peuvent contribuer utilement au renforcement des capacités de ces fonctionnaires, et leur permettre de promouvoir et de défendre efficacement les intérêts de leur pays et de la région au sein de l’OMC. Cela englobe des contributions aux travaux ordinaires de l’OMC mais aussi au Cycle de négociations commerciales de Doha.

Le CRPC est l’un des programmes d’assistance technique phares de l’OMC et il sert la réalisation de multiples objectifs. Comme de nombreuses autres activités d’assistance technique et de formation menées par l’OMC, l’objectif est de renforcer les capacités en améliorant la connaissance qu’ont les fonctionnaires gouvernementaux des Accords de l’OMC et en les rendant mieux à même d’exécuter les activités en lien avec l’OMC. Les CRPC ont cela d’unique toutefois qu’ils mettent spécifiquement l’accent sur le contexte des politiques commerciales régionales et ses liens avec l’OMC, et ce, par la participation d’universitaires et de spécialistes des politiques régionaux qui interviennent aux côtés des fonctionnaires de l’OMC. C’est un cadre unique où sont proposées et discutées des présentations conjointes d’universitaires et de fonctionnaires de l’OMC. La participation d’experts régionaux au CRPC est conçue avec soin pour permettre le renforcement des connaissances en matière de politique commerciale sur le plan régional, en vue d’accroître le savoir institutionnel dans les pays arabes et du Moyen-Orient concernant l’OMC et le système commercial multilatéral. À cet égard, le partenariat avec la Sultan Qaboos University est essentiel à la composante régionale du CRPC.

Je voudrais ajouter un mot à l’intention des participants du CRPC provenant de divers pays de la région. Vous avez été choisis car vous avez rempli les conditions préalables requises. Vous passerez huit semaines ensemble sur le campus et je vous encourage à tirer pleinement parti de ce cours et des installations de qualité mises à votre disposition.

 

Le rôle d’Oman dans l’économie mondiale et le système commercial multilatéral

Oman a accédé à l’OMC en novembre 2000. Au cours de la décennie écoulée, les résultats économiques du pays ont été régulièrement positifs, avec une croissance vigoureuse du PIB réel et un régime commercial extérieur ouvert et transparent. Les prévisions économiques pour cette année et pour 2015 sont de l’ordre de 4,2%. Cependant, compte tenu de la forte dépendance d’Oman à l’égard du pétrole, ses perspectives économiques dépendent dans une grande mesure de l’évolution du marché mondial du pétrole.

Oman est un ardent défenseur du système commercial multilatéral et a joué un rôle important au sein du groupe des “Membres ayant accédé récemment (MAR) et du groupe des pays arabes à l’OMC. Je dois souligner ici l’importante contribution des experts de votre mission permanente à Genève et le rôle actif qu’ils ont joué dans le cadre des travaux ordinaires de tous les comités de l’Organisation. Plus particulièrement, permettez-moi de souligner l’engagement dont Oman a fait preuve en fournissant une assistance technique liée au commerce aux gouvernements accédants. Hilda al Hinai, représentante permanente adjointe d’Oman auprès de l’OMC, mérite à cet égard une mention spéciale. En tant que Présidente du Groupe de travail de l’accession des Seychelles, elle vient juste de mener le Groupe de travail au bout de sa tâche. Cette accession n’a désormais plus qu’à être finalisée par les Membres de l’OMC à la réunion de décembre du Conseil général. Je souhaite saisir cette occasion pour remercier Hilda du soutien et de l’engagement dont elle a fait preuve à cet égard et de nombreuses autres façons durant son séjour à Genève.

Oman a été l’un des premiers pays du Golfe à élaborer un plan stratégique à long terme, défini dans le cadre de Vision 2020 et, plus récemment, Vision 2040. Ce tableau macroéconomique montre que le pays enregistre des résultats positifs. Les principaux objectifs d’Oman sur le plan économique sont de favoriser une croissance exclusive, de diversifier la production et les exportations pour moins dépendre du pétrole et de créer plus de possibilités d’emplois. En conséquence, Oman continue d’investir beaucoup dans les infrastructures, notamment en développant les installations touristiques, les chemins de fer et les ports. À titre d’exemple, permettez-moi de mentionner l’ouverture du port de Salalah dans le sud du pays en 1998 en tant que centre majeur de transbordement des conteneurs. Récemment, en 2013, le trafic à Salalah atteignait 3,3 millions d’équivalents 20 pieds, ce qui en fait le deuxième port de conteneurs du Moyen-Orient après Doubaï. Une autre illustration de ce développement des infrastructures est la première phase des travaux du grand port de Duqm sur la mer d’Arabie qui a ouvert en mars 2013. C’est là un instrument central de la stratégie visant à mettre en place et à développer une vaste zone industrielle et explique pourquoi Oman a un intérêt spécifique dans les négociations concernant l’AMNA [accès aux marchés pour les produits non agricoles]. Cela montre également l’intérêt stratégique que votre pays porte aux négociations commerciales de Doha qui sont en cours et en particulier à la mise en œuvre du paquet de Bali qui pourrait créer d’importantes opportunités commerciales pour votre pays et plus largement pour la région des pays du Conseil de coopération du Golfe.

 

Les décisions de Bali et la mise en œuvre du paquet de Bali

La dernière Conférence ministérielle de l’OMC tenue en décembre 2013 à Bali a été un moment important pour le système commercial international dans la mesure où, pour la première fois après des décennies de pourparlers qui n’avaient pas abouti, les Membres sont convenus collectivement de faire un pas en avant en s’entendant sur des résultats spécifiques et tangibles dans certains domaines, notamment un certain nombre de questions liées au développement, la détention de stocks publics à des fins de sécurité alimentaire et l’Accord sur la facilitation des échanges. En ce qui concerne la facilitation des échanges, l’Accord issu de la Conférence ministérielle est le premier accord commercial multilatéral conclu depuis la création de l’OMC. Les résultats obtenus à Bali étaient non seulement importants en soi mais importants aussi pour renforcer le consensus en vue de l’achèvement des négociations du Cycle de Doha dans leur ensemble.

Cependant, nous nous sommes heurtés à de graves difficultés pour mettre en œuvre les résultats de Bali à cause d’une impasse concernant deux des décisions de Bali: celle concernant la détention de stocks publics et l’Accord sur la facilitation des échanges. Malgré de gros efforts, les Membres ne sont pas parvenus à respecter la date butoir du 31 juillet fixée par les Ministres pour s’entendre sur le protocole nécessaire à la ratification de l’Accord sur la facilitation des échanges. Il est essentiel que les Membres trouvent un moyen constructif d’aller de l’avant, d’autant plus que la mise en œuvre de l’Accord sur la facilitation des échanges a d’importantes implications pour la croissance, le développement économique, l’emploi et la réduction de la pauvreté, comme l’a récemment évoqué le Directeur général Roberto Azevêdo à l’occasion du lancement du Rapport sur le commerce mondial. La question est d’autant plus prioritaire qu’après la crise la croissance mondiale reste fragile, et de nombreux pays de la catégorie des moins avancés ne parviendront pas à atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement. C’est une situation très préoccupante dont on ne saurait se contenter. Nous devons faire plus et agir rapidement. De fait, les gains du paquet de Bali pourraient donner un coup d’accélérateur à l’économie mondiale. D’après certaines estimations, ils pourraient atteindre 1 000 milliards de dollars EU par an et entraîner la création de 21 millions d’emplois supplémentaires dans les pays développés et en développement. Un tel accord pourrait aussi contribuer à diversifier les exportations des pays en développement, offrir de nouveaux débouchés et en dernière analyse réduire la vulnérabilité de certaines économies aux chocs extérieurs. Allant dans le sens des efforts faits par Oman pour diversifier la structure de ses exportations, le paquet de Bali, une fois exécuté, pourrait contribuer à la mise en œuvre de sa stratégie pour 2040.

L’importance qu’il y a à faire avancer les questions commerciales a été soulignée par de récentes données sur le commerce qui ont été communiquées. Nous avons récemment revu à la baisse notre prévision de la croissance du commerce mondial en 2014 qui s’établit à 3,1% (contre 4,7% il y a quelques mois) et ramené l’estimation pour 2015 à 4,0% contre 5,3% précédemment. La volatilité de la croissance et la persistance des tensions géopolitiques continuent de peser sur les prévisions. Il nous faut relancer le commerce pour relancer la croissance et créer de l’emploi. C’est notre raison d’être et c’est la raison pour laquelle nous sommes convaincus qu’il est essentiel de finaliser le cycle de négociation en cours dans le cadre de la stratégie mondiale de l’après-crise.

Je souhaiterais ici citer le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, M. Ban Ki-moon, qui a ouvert le Forum public de l’OMC 2014 le 1er octobre à Genève en disant “un peu de commerce apporte parfois beaucoup d’aide et conclure le Cycle de Doha reste la meilleure voie vers un système commercial plus juste et orienté vers le développement”.

 

Conclusion

En conclusion, l’OMC remercie sincèrement le gouvernement d’Oman, et en particulier le Ministère du commerce et de l’industrie, pour l’aide inestimable apportée pour organiser le cours régional mais aussi pour les excellentes installations fournies aux participants du CRPC. Je souhaite remercier particulièrement le personnel de la Sultan Qaboos University pour le professionnalisme et le dévouement dont il a fait preuve dans la préparation et l’organisation de ce premier cours régional. J’attends avec intérêt de prendre connaissance des premiers produits de la chaire.

Je souhaiterais remercier M. Anvar Kacimov, Doyen du Collège des sciences agricoles et marines, M. Houcine Boughanmi, nouveau titulaire de la chaire de l’OMC et Chef du Département de l’économie des ressources naturelles et Coordonnateur pour le CRPC, Mme Fatma Ali Mansour AL-Khuzairi, Responsable du Département chargé de la coordination et du suivi au Bureau de la coopération internationale, et M. Mahmood Al-Kindi, Chef du Département des relations internationales. En outre, je remercie tout particulièrement son Altesse Mona Fahad Al Said qui a activement contribué depuis la signature de la lettre d’intention en 2009 à renforcer le partenariat de l’OMC avec la Sultan Qaboos University. Permettez-moi aussi de remercier M. Salahaddin Al-Saadi, Directeur adjoint du Bureau de la coopération internationale.

Lorsque je suis arrivé sur votre merveilleux campus, j’ai lu une note d’information sur votre université. L’un des paragraphes était ainsi libellé: “lors de la conception du campus, l’aménagement paysager de l’université a été soigneusement pensé et les plantations originales sont aujourd’hui devenues des jardins verdoyants et des parterres fleuris”. Je confirme la véracité de cette description de ce campus qui jouit d’un environnement propice et productif; je suis certain que la chaire qui y est hébergée continuera de s’épanouir et de produire d’importantes contributions non seulement pour votre pays mais aussi pour la région. Je suis aussi certain que la chaire travaillera en étroite collaboration avec les autres chaires, en particulier celles de la région pour encourager les synergies.

Benjamin Franklin a écrit en 1758: “un investissement dans la connaissance est toujours payant”. Je suis sûr que l’investissement aussi bien dans le programme de chaires que dans le CRPC sera payant non seulement pour les étudiants, les fonctionnaires et les universitaires, mais aussi pour les populations que nous servons aux niveaux national, régional et mondial.

Au nom du Directeur général, M. Roberto Azevêdo, j’ai le grand plaisir d’inaugurer une chaire de l’OMC à la Sultan Qaboos University et d’ouvrir officiellement ce CRPC pour la région des pays arabes et du Moyen-Orient.

Félicitations et bonne chance!

 

Le Programme de chaires de l’OMC est mis en route à la Sultan Qaboos University (Oman)

 

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