COMMERCE ÉLECTRONIQUE

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L'Inde a présenté sa proposition concernant le rôle des infrastructures publiques numériques dans la promotion du commerce électronique. Cette proposition décrit les difficultés qui limitent l'accès aux technologies numériques et leur adoption. Elle indique qu'une infrastructure publique numérique est le soutien des transactions numériques et permet une fourniture de services plus inclusive ainsi que l'innovation dans les secteurs public comme privé. Elle décrit également les caractéristiques importantes d'une infrastructure idéale.  

Les Membres de l'Organisation des États des Caraïbes orientales (OECO) — Antigua-et-Barbuda, Dominique, Grenade, Saint-Kitts-et-Nevis, Saint-Vincent-et-les Grenadines et Sainte-Lucie — ont présenté une proposition qui met en évidence l'utilisation du commerce électronique et l'état de préparation au commerce numérique dans leurs pays. Elle indique aussi comment le programme de travail peut aider les pays en développement et les pays les moins avancés (PMA) à relever certains de leurs défis en matière de commerce électronique.

Singapour a fait part de son expérience des infrastructures numériques, notamment en ce qui concerne la mise en place d'un cadre relatif à l'identité numérique.

D'autre Membres ont évoqué les difficultés liées au commerce électronique, comme la connectivité, l'accessibilité financière, l'absence d'infrastructure de paiement numérique, le manque de compétences et de connaissances numériques et l'absence de mécanismes de protection des consommateurs, entres autres choses. Les Membres ont également souligné l'importance de l'inclusion pour la réduction de la fracture numérique.

Il a été dit que l'Initiative Aide pour le commerce et l'assistance technique de l'OMC pouvaient aussi contribuer à aider les pays en développement et les PMA à renforcer leur capacité numérique. Selon les Membres, il faudrait mettre à profit le pouvoir de mobilisation de l'OMC pour inviter les organisations internationales compétentes et d'autres parties prenantes à venir partager leur savoir-faire spécialisé dans ce domaine.

L'Ambassadeur Usha Dwarka-Canabady, facilitateur du Programme de travail et du moratoire sur le commerce électronique, a dit: “Nos discussions sur la fracture numérique ne doivent pas s'arrêter là. Nous devons définir ensemble les questions ciblées que nous voulons aborder et examiner de manière plus approfondie les éléments particuliers qui ont été évoqués aujourd'hui ainsi que les domaines dans lesquels l'OMC pourrait jouer un rôle actif.”

La prochaine discussion spécifique aura lieu le 22 mars et portera sur les cadres légaux et réglementaires.

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