OMC: COMMUNIQUÉ DE PRESSE 2016

PRESS/768

COMMUNIQUÉ DE PRESSE


POUR EN SAVOIR PLUS:
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FAITS SAILLANTS

  • Le volume du commerce mondial des marchandises devrait augmenter de 2,8% en 2016, contre 2,8% en 2015, alors que la croissance du PIB fléchit dans les économies développées et reprend dans les économies en développement.
  • La croissance du commerce devrait s’accélérer en 2017, pour s’établir à 3,6%, ce qui reste inférieur à la moyenne de 5,0% enregistrée depuis 1990. Il existe des risques de baisse par rapport aux prévisions, notamment si le ralentissement des économies émergentes se poursuit et si la volatilité financière persiste.
  • L’Amérique du Sud est la région où la croissance des importations a été la plus faible en 2015, une grave récession au Brésil ayant fait baisser la demande.
  • Les exportations des économies développées ont progressé plus lentement que celles des pays en développement en 2015, avec une croissance de 2,6% en volume pour les premières contre 3,3% pour les seconds.
  • Les importations des économies développées ont fortement augmenté l’année dernière, tandis que celles des pays en développement ont stagné, avec une croissance de 4,5% pour les premières et de 0,2% pour les seconds.
  • Un fort ralentissement du commerce a touché toutes les régions au deuxième trimestre de 2015, mais s’est largement inversé vers la fin de l’année.
Les risques par rapport à ces prévisions sont principalement des risques baissiers, notamment si le ralentissement de l’économie chinoise est plus marqué que prévu, si la volatilité des marchés financiers s’aggrave et si les pays très endettés sont exposés à de fortes fluctuations des taux de change. Il y a cependant un potentiel de hausse si le soutien monétaire accordé par la Banque centrale européenne parvient à générer une croissance plus rapide dans la zone euro.

“Le commerce enregistre toujours une croissance positive, mais à un rythme décevant”, a dit le Directeur général de l’OMC, Roberto Azevêdo. “Pour la cinquième année consécutive, la croissance du commerce sera inférieure à 3%. De plus, si le commerce mondial augmente en volume, il a diminué en valeur en raison de la fluctuation des taux de change et de la baisse des prix des produits de base. Cela pourrait entraver la croissance économique déjà fragile des pays en développement vulnérables. En outre, il subsiste la menace d’un protectionnisme rampant car de nombreux gouvernements continuent d’appliquer des restrictions au commerce et le stock de ces mesures continue d’augmenter.”

“Cependant, nous devons mettre ces chiffres en perspective. Les Membres de l’OMC peuvent faire en sorte que le commerce stimule la croissance économique mondiale au moyen de diverses mesures, allant de la suppression des mesures restrictives pour le commerce à la mise en œuvre de l’Accord de l’OMC sur la facilitation des échanges. Cet accord réduira considérablement les coûts du commerce dans le monde entier, ce qui pourrait entraîner une augmentation du commerce allant jusqu’à 1 000 milliards de dollars par an”, a ajouté M. Azevêdo. “Par ailleurs, il est possible d’en faire plus pour lever les obstacles tarifaires et non tarifaires qui continuent d’entraver les exportations de produits agricoles et manufacturés.”

Sur la base des prévisions pour 2016, le commerce mondial aura progressé à peu près au même rythme que le PIB mondial pendant cinq ans (aux taux de change du marché), et non deux fois plus vite, comme c’était le cas auparavant. Une période aussi longue et ininterrompue de croissance faible mais positive du commerce est sans précédent, mais il ne faut pas en surestimer l’importance. Globalement, la croissance du commerce a été plus faible entre 1980 et 1985, avec un taux de moins de 3% pendant cinq années sur six, dont deux années de contraction pure et simple.

Les différents indicateurs de l’activité économique et commerciale dans les premiers mois de 2016 sont mitigés, certains indiquant un raffermissement de la croissance du commerce et de la production tandis que d’autres suggèrent plutôt un ralentissement. Du côté positif, le trafic de conteneurs dans les principaux ports a regagné une grande partie du terrain perdu du fait du ralentissement du commerce l’année dernière, tandis que les ventes d’automobiles – qui sont l’un des meilleurs indicateurs d’un ralentissement futur du commerce – ont continué de croître à un rythme soutenu dans les pays développés. En revanche, les indicateurs composites avancés de l’Organisation de coopération et de développement économiques laissent entrevoir un fléchissement de la croissance dans les pays de l’OCDE, et une volatilité persistante des marchés financiers en 2016. La croissance du commerce pourrait donc elle aussi rester volatile en 2016.

 

Détails sur l’évolution du commerce en 2015

L’année 2015 est la quatrième année consécutive durant laquelle la croissance du commerce mondial des marchandises est restée inférieure à 3,0% en rythme annuel. Par ailleurs, le commerce a été inhabituellement volatile pendant l’année, accusant une baisse au deuxième trimestre dans les pays développés comme dans les pays en développement avant de rebondir au second semestre (graphique 1).

Graphique 1: Volume des exportations et des importations de marchandises selon le niveau de développement, 2012T1-2015T4

Source: Secrétariat de l’OMC.

La croissance faible mais toujours positive du commerce des marchandises en volume en 2015 a contrasté avec la forte baisse de sa valeur en dollars, qui a diminué de 13% pour s’établir à 16 500 milliards de dollars, contre 19 000 milliards de dollars en 2014. (Voir les tableaux 1 à 6 de l’appendice, qui contiennent des données détaillées sur le commerce en dollars courants par pays et par région.) Cette différence s’explique principalement par les fortes fluctuations des prix des produits de base et des taux de change, dues elles‑mêmes au ralentissement de la croissance économique en Chine, à la production soutenue de combustibles aux États‑Unis et à la divergence des politiques monétaires des grandes économies. La volatilité des marchés financiers a par ailleurs érodé la confiance des entreprises et des consommateurs et a peut-être contribué à la réduction de la demande mondiale de certains biens durables.

L’année dernière, le commerce mondial des services commerciaux a enregistré une baisse en dollars courants (baisse des exportations de 6,4%, à 4 700 milliards de dollars) qui a été plus faible que celle du commerce des marchandises, les services liés aux marchandises, tels que les transports, accusant une baisse plus importante (de 10,3%, à 870 milliards de dollars) que les autres catégories. La vigueur relative des services n’est pas surprenante car ce type de commerce est généralement moins sensible aux cycles économiques que le commerce des marchandises.

L’estimation préliminaire de 2,8% de croissance du commerce mondial en 2015 correspond à la moyenne des exportations et des importations de marchandises en volume, c’est-à-dire qu’elle est ajustée compte tenu des différences de taux d’inflation et de taux de change entre les pays. Ce chiffre est conforme à notre prévision la plus récente de 2,8%, établie en septembre dernier, mais celle-ci n’avait pas prédit certaines évolutions régionales.

Les exportations de l’Amérique du Nord ont été inférieures aux attentes, tandis que les expéditions en provenance des régions exportatrices de pétrole (Afrique, Moyen-Orient et Communauté d’États indépendants) ont été plus importantes que prévu. Dans le même temps, les importations de l’Europe ont été plus fortes que prévu, tandis que celles des régions productrices de pétrole ont été plus faibles. La vigueur relative du commerce européen peut s’expliquer par la reprise du commerce intra‑européen, tandis que la mollesse des importations des pays producteurs de pétrole s’explique par la faiblesse des prix du pétrole, qui prive ces pays des recettes d’exportation dont ils ont besoin pour payer les importations.

La croissance négative des importations en Amérique du Sud et en Amérique centrale en 2015 a été due principalement à la grave récession qui a sévi au Brésil, mais les difficultés rencontrées par d’autres pays de la région ont également contribué à ce résultat négatif. Par ailleurs, la diminution des importations des régions productrices de pétrole a été due principalement à la chute des prix mondiaux du pétrole, qui a amputé les recettes d’exportation des pays concernés.

 

Évolution du commerce en 2015 par région, produit et catégorie de services

Le volume du commerce des marchandises a augmenté à un rythme lent et régulier au cours des dernières années, mais malgré cette régularité, la contribution des régions géographiques de l’OMC à la croissance du commerce en volume a changé au fil du temps (graphique 3).

L’Asie a contribué plus que toute autre région à la reprise du commerce mondial après la crise financière de 2008-2009. Cependant, la région a moins contribué à la croissance des importations mondiales en volume l’année dernière du fait du ralentissement de l’économie chinoise et d’autres économies asiatiques. En 2013, la contribution de l’Asie à l’augmentation de 2,3% du volume des importations mondiales de marchandises était de 1,6 point de pourcentage, soit 73% de la croissance des importations mondiales, mais en 2015, la contribution de la région à l’augmentation des importations mondiales de 2,6% n’a été que de 0,6 point de pourcentage, soit 23% de leur croissance.

En revanche, l’Europe a surtout tiré le commerce mondial vers le bas depuis la crise financière et a même réduit la croissance de la demande mondiale d’importations en 2012 (-0,7%) et en 2013 (‑0,1%). Mais en 2015, elle a de nouveau apporté une importante contribution positive à cette croissance, avec une part de 1,5 point de pourcentage dans la hausse de 2,6% du volume des importations mondiales, soit 59% de la croissance du commerce mondial. La reprise progressive du commerce intra-UE en 2014 et 2015 explique en grande partie ce rebond, à mesure que s’estompaient les effets négatifs de la crise des dettes souveraines en Europe.

L’an dernier, l’Amérique du Nord a apporté une contribution positive à la croissance des importations mondiales (1,1%), tandis que des contributions négatives ont été enregistrées pour l’Amérique du Sud et centrale (-0,2%) et pour les autres régions, qui comprennent l’Afrique, le Moyen-Orient et la CEI (-0,4%).

Graphique 2: Contributions à la croissance du commerce mondial en volume par région, 2011-2015
Variation annuelle en %

Source: Secrétariat de l’OMC.

L’Asie a aussi contribué plus que toute autre région à la croissance du volume des exportations mondiales de marchandises entre 2011 et 2014, mais sa contribution est tombée en dessous de celle de l’Europe en 2015. En effet, sa part dans l’augmentation de 3,0% des exportations mondiales de marchandises l’année dernière a été de 1 point de pourcentage, soit 35% de la croissance des exportations, tandis que celle de l’Europe a été de 1,3 point de pourcentage, soit 44% de la hausse.

La contribution de l’Amérique du Nord à la croissance des exportations en volume a été presque nulle en 2015 car la demande de marchandises en provenance des États-Unis s’est ralentie au Canada, en Asie et en Amérique du Sud et centrale. Dans le même temps, l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale ainsi que les autres régions ont apporté une petit contribution positive à la croissance du volume des exportations. L’augmentation du volume des exportations des régions productrices de pétrole combinée à la baisse des importations en Asie a vraisemblablement contribué à la chute des prix de l’énergie en 2015, l’offre de pétrole étant supérieure à la demande énergétique, ce qui a causé l’effondrement des prix.

Le graphique 3 indique les volumes trimestriels des exportations et des importations de marchandises pour la période de quatre ans se terminant au dernier trimestre de 2015. Il en ressort que toutes les régions ont été touchées à des degrés divers par le ralentissement du commerce survenu au premier semestre de 2015, quoique l’impact ait été plus fort au deuxième trimestre. Les importations des pays qui dépendent des ressources (principalement en Amérique du Sud et centrale et dans les autres régions) ont diminué en raison de la baisse des recettes d’exportation et n’ont pas repris au second semestre de 2015, tandis que les importations des régions plus industrialisées (Europe, Amérique du Nord, Asie) ont enregistré une reprise partielle dans la deuxième moitié de l’année.

Graphique 3: Volume des exportations et des importations de marchandises par région, 2012T1-2015T4
(Indices du volume corrigés des variations saisonnières, 2012T1 = 100)

Source: Secrétariat de l’OMC.

L’OMC n’a pas établi de ventilation par produit de la croissance du commerce mondial en volume, mais cette ventilation peut être estimée pour la croissance en glissement annuel de la valeur en dollars du commerce des marchandises. Celle‑ci est présentée par grandes catégories de produits dans le graphique 4, qui montre que les combustibles et produits miniers ont contribué pour plus de moitié à la diminution de la valeur du commerce en 2015, mais que le ralentissement du commerce des produits manufacturés et des produits agricoles a aussi grandement contribué à cette diminution. Les produits manufacturés dont le commerce a enregistré une baisse notable en valeur en 2015 sont le matériel de bureau et de télécommunication, les produits chimiques et les autres machines et appareils (comprenant les biens d’équipement et les biens durables autres que les automobiles), tandis que les vêtements et textiles n’ont contribué que légèrement à la croissance.

D’après les estimations, la valeur en dollars des importations intra-asiatiques de produits manufacturés a diminué d’environ 5% en 2015, ce qui correspond à peu près à la baisse des importations asiatiques de produits manufacturés en provenance du monde entier. Cela semble indiquer une large baisse des valeurs du commerce, qui est peut‑être liée plus aux fluctuations des prix qu’à un changement des modes de production et de consommation. Néanmoins, les importations asiatiques d’autres machines et appareils (catégorie qui comprend les biens d’équipement) ont enregistré une baisse plus importante, d’environ 8%, ce qui semble indiquer un ralentissement de l’investissement dans la région. En particulier, les importations chinoises d’autres machines et appareils en provenance d’Europe et d’Amérique du Nord ont diminué de 15% et 8%, respectivement, en 2015, d’après les estimations du Secrétariat. Ce recul de l’investissement, qui est peut‑être temporaire, est dû à la volatilité financière, à l’incertitude des taux de change et à l’instabilité des politiques monétaires en 2015.

Graphique 4: Contributions à la croissance en glissement annuel du commerce mondial des marchandises par produit, 2014T1-2015T4
Variation en % en glissement annuel des valeurs en $ courants

Source: Estimations du Secrétariat d’après des données miroirs disponibles dans la base de données Global Trade Atlas.

Le graphique 5 indique la croissance de la valeur en dollars des exportations mondiales de services commerciaux depuis 2013, par grandes catégories de services. Le commerce des services commerciaux a enregistré une baisse en glissement annuel de 6,4% en 2015, mais la baisse a été plus importante, de près de 10%, pour les services de transport, les prix du transport maritime de vrac sec étant tombés à leurs niveaux les plus bas l’an dernier. Pour d’autres types d’exportations de services, comme les services relatifs aux voyages et les autres services commerciaux (catégorie qui comprend les services financiers), les baisses ont été plus faibles, d’environ 5,5%.

Graphique 5: Croissance des exportations de services commerciaux en valeur par catégorie, 2013-2015
Variation en % des valeurs en $EU

Source: WTO Secretariat

Le recul des exportations mondiales de services commerciaux a été inférieur à la baisse de 13,5% de la valeur en dollars des exportations de marchandises, qui a été fortement influencée par les fluctuations des prix des produits primaires (voir les tableaux 1 à 6 et le graphique 1 de l’appendice pour des ventilations détaillées du commerce des marchandises et des services commerciaux par région et par principaux pays commerçants). D’après les statistiques du Fonds monétaire international, les prix des produits primaires ont baissé de plus de 50% en moyenne depuis janvier 2014, avec des baisses d’environ 20% pour les aliments et les boissons, 30% pour les métaux et 65% pour l’énergie (combustibles).

Il n’existe pas d’indicateurs du volume pour le commerce des services analogues aux indices du volume du commerce des marchandises de l’OMC, mais les mesures physiques du commerce des services, telles que le nombre d’arrivées de passagers et le trafic des ports à conteneurs (graphique 6) laissent entrevoir une reprise de la croissance après un ralentissement au milieu de 2015.

Graphique 6: Indicateur de tendance des expéditions de conteneurs, janvier 2007-janvier 2016
Indicateur de tendance corrigé des variations saisonnières, 2010 = 100

Source: Institut d’économie maritime et de logistique.

 

Perspectives pour 2016 et 2017

Les prévisions de l’OMC, qui font état d’une croissance de 2,8% du commerce mondial des marchandises en volume en 2016 et d’une croissance du commerce de 3,6% en 2017, reposent sur des estimations consensuelles du PIB réel aux taux de change du marché établies par les économistes (tableau 1). D’après ces estimations, le PIB mondial devrait augmenter de 2,4% cette année et de 2,7% l’année prochaine, et la croissance devrait ralentir légèrement dans les pays développés en 2016 et s’accélérer modestement dans les pays en développement.

Les exportations des pays développés et celles des pays en développement devraient croître à peu près au même rythme en 2016, de 2,9% pour les premiers et de 2,8% pour les seconds. Dans le même temps, les importations des économies développées devraient progresser plus vite que celles des économies en développement en 2016, avec une augmentation de 3,3% pour les premières contre 1,8% pour les secondes.

Cette année, l’Asie devrait être la région où la croissance des exportations sera la plus forte, à 3,4%, suivie par l’Amérique du Nord et l’Europe, à 3,1% chacune. L’Amérique du Sud et centrale et les autres régions connaîtront une augmentation plus lente, de 1,9% et de 0,4%, respectivement. L’Amérique du Nord devrait voir ses importations augmenter de 4,1% cette année, tandis que les importations de l’Asie et de l’Europe devraient enregistrer une croissance de 3,2%. Enfin, les importations de l’Amérique du Sud et centrale et des autres régions devraient se contracter de nouveau cette année, les prix du pétrole et des autres produits de base restant bas, mais le degré de contraction devrait être moindre.

Les risques de baisse par rapport aux prévisions commerciales subsistent. La confiance des entreprises et des consommateurs s’est détériorée récemment dans les pays développés. Par conséquent, les prévisionnistes tablent maintenant sur une croissance plus lente du PIB dans l’Union européenne et aux États-Unis en 2016, suivie d’un rebond en 2017. L’instabilité financière en Asie a cessé pour l’essentiel, mais pourrait revenir si les données économiques sont supérieures ou inférieures aux attentes du marché. En revanche, une politique monétaire plus accommodante de la Banque centrale européenne pourrait relancer la croissance dans la zone euro et stimuler la demande de biens et de services, y compris la demande d’importations.

Les données annuelles, trimestrielles et mensuelles sur le commerce peuvent être consultées à l’adresse: https://www.wto.org/french/res_f/statis_f/statis_f.htm

Tableau 1: Volume du commerce des marchandises et PIB réel, 2011-2017a
Variation annuelle en %

a Les chiffres pour 2016 et 2017 sont des projections.
b Les autres régions comprennent l’Afrique, la Communauté d’États indépendants et le Moyen‑Orient.

Sources: Secrétariat de l’OMC pour le commerce, estimations consensuelles pour le PIB.

 

 

Tableaux et graphiques de l’appendice

Tableau 1 de l’appendice: Commerce mondial des marchandises par région et pour certaines économies, 2015
Milliards de $ et %

a Importations f.a.b.
b Y compris les Caraïbes. Pour la composition des groupes, voir les Notes techniques des Statistiques du commerce international de l'OMC, 2015.
c Algérie, Angola, Cameroun, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Libye, Nigéria, Soudan, Tchad.
d Hong Kong, Chine; République de Corée; Singapour; et Taipei chinois.
e Marché commun du Sud: Argentine; Brésil; Paraguay; Uruguay; et Venezuela, Rép. bolivarienne du.
f Association des nations de l'Asie du Sud Est: Brunéi, Cambodge, Indonésie, Laos, Malaisie, Myanmar, Philippines, Singapour, Thaïlande, Viet Nam.
Source: Secrétariat de l’OMC.

 

Tableau 2 de l’appendice: Commerce mondial des services commerciaux par région et pour certaines économies, 2015
Milliards de $ et %

'a Y compris les Caraïbes. Pour la composition des groupes, voir le chapitre IV (Métadonnées) des Statistiques du commerce international de l'OMC, 2015.
'b Importations ajustées selon l'évaluation f.a.b.
'c Estimations du Secrétariat. Données trimestrielles non disponibles.
… indicates unavailable or non-comparable figures.
'Note: Estimations préliminaires fondées sur des statistiques trimestrielles. Des données provisoires pour chaque trimestre de 2015 étaient disponibles à la mi-mars pour quelque 80 pays (représentant au moins 80% du commerce mondial des services commerciaux), mais les estimations pour la plupart des autres pays sont basées sur des données relatives aux trois premiers trimestres. D'autres données sont disponibles à l'adresse suivante: https://www.wto.org/french/res_f/statis_f/short_term_stats_f.htm
Source: WTO and UNCTAD Secretariats

 

Tableau 3 de l’appendice: Commerce des marchandises: principaux exportateurs et importateurs, 2015
Milliards de $ et %

a Importations f.a.b.
b Y compris l'or.
c Les importations définitives de Singapour s'entendent des importations moins les réexportations.
d Estimations du Secrétariat.
e Y compris des réexportations importantes ou des importations destinées à la réexportation.
Source: Secrétariat de l’OMC.

 

Tableau 4 de l’appendice: Commerce des marchandises: principaux exportateurs et importateurs, à l’exclusion du commerce intra‑UE (28), 2015
Milliards de $ et %

a Importations f.a.b.
b Les importations définitives de Singapour s'entendent des importations moins les réexportations.
c Y compris l'or.
d Estimations du Secrétariat.
e Y compris des réexportations importantes ou des importations destinées à la réexportation.
Source: Secrétariat de l’OMC.

 

Tableau 5 de l’appendice: Principaux exportateurs et importateurs de services commerciaux, 2015
Milliards de $ et %

a Importations ajustées en fonction de la valeur f.a.b.
b Données converties selon la méthode du MBP6. Les services de fabrication sur des intrants détenus par des tiers ne sont pas inclus.
… Chiffres non disponibles ou non comparables.
'- Sans objet.
Note: Estimations préliminaires fondées sur des statistiques trimestrielles. Les chiffres concernant un certain nombre de pays et territoires ont été estimés par le Secrétariat.
D'autres données sont disponibles à l'adresse: https://www.wto.org/french/res_f/statis_f/short_term_stats_f.htm.
Source: Secrétariats de l'OMC et de la CNUCED.

 

Tableau 6 de l’appendice: Principaux exportateurs et importateurs de services commerciaux, à l’exclusion du commerce intra‑UE (28), 2015
Milliards de $ et %

a Importations ajustées en fonction de la valeur f.a.b.
b Données converties selon la méthode du MBP6. Les services de fabrication sur des intrants détenus par des tiers ne sont pas inclus.
c Suivant la classification des services du MBP5.
d Estimations du Secrétariat. Données trimestrielles non disponibles.
e Estimations du Secrétariat.
… Chiffres non disponibles ou non comparables.
'- Sans objet.
Note: Estimations préliminaires fondées sur des statistiques trimestrielles. Les chiffres concernant un certain nombre de pays et territoires ont été estimés par le Secrétariat.
D'autres données sont disponibles à l'adresse: https://www.wto.org/french/res_f/statis_f/short_term_stats_f.htm.
Source: Secrétariats de l'OMC et de la CNUCED.

 

Graphique 1 de l’appendice: Exportations et importations de marchandises de certaines économies, juillet 2013-février 2016
(Variation en glissement annuel en %, $ courants)

a January and February averaged to minimize distortions due to lunar new year.
Source: Statistiques financières internationales du FMI, base de données GTA des Global Trade Information Services, statistiques nationales.

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> Conférence de presse sur les prévisions commerciales de l’OMC: Remarques du Directeur général Roberto Azevêdo

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